Film de Dominique Tiberi.
1986. Couleur. Fiction.
Langue corse sous titrée
Ingénieur du son...........................................................Antoine Bonfanti.
Production .........................................................................Sinemassoci.
Interprétation ..................................Catalina Albertini, Danielle Maoudj, Anna Simonpoli, Toni Luciani.
Lieux de tournage.....................................................................Ventiseri.
Si Dominique Tiberi voit dans l’activité cinématographique des années 70/80 « le besoin de réparer une culture en voie de disparition, vivante et pas seulement comme faisant partie du monde de l’enfance », elle-même investit le genre en libératrice des drames intimes enfouis, avec l’obsession de l’entomologiste.
Chaque plan de cette Malavia est fouillé, étiré jusqu’à l’extrême, comme pour mieux extirper toute la noirceur des personnages, également prisonniers de leur contexte et victimes d’un destin implacable.
La violence du propos n’est tempérée d’aucune concession, le romantisme n’a pas sa place dans l’œuvre intransigeante de Dominique Tiberi.
1986. Couleur. Fiction.
Langue corse sous titrée
Ingénieur du son...........................................................Antoine Bonfanti.
Production .........................................................................Sinemassoci.
Interprétation ..................................Catalina Albertini, Danielle Maoudj, Anna Simonpoli, Toni Luciani.
Lieux de tournage.....................................................................Ventiseri.
Si Dominique Tiberi voit dans l’activité cinématographique des années 70/80 « le besoin de réparer une culture en voie de disparition, vivante et pas seulement comme faisant partie du monde de l’enfance », elle-même investit le genre en libératrice des drames intimes enfouis, avec l’obsession de l’entomologiste.
Chaque plan de cette Malavia est fouillé, étiré jusqu’à l’extrême, comme pour mieux extirper toute la noirceur des personnages, également prisonniers de leur contexte et victimes d’un destin implacable.
La violence du propos n’est tempérée d’aucune concession, le romantisme n’a pas sa place dans l’œuvre intransigeante de Dominique Tiberi.